Un récit, ou six récits qui commencent à 0 heure et s’achèvent à minuit. Ou plutôt, peut-être, six récits qui commencent à 0 heure, et finalement un récit qui se termine à minuit. Donc sept récits au final. Vous suivez ? Dire cela c’est peut-être livrer...
Lire la suitela contre-allee
Trouver un autre nom à l’amour, Nivaria Tejera (par Marc Ossorguine)
Lire n’est pas fuir Nous connaissons assez peu Nivaria Tejera en France, et malgré un certain intérêt partagé pour la littérature des Caraïbes et plus particulièrement cubaine, son nom reste sans doute encore méconnu des amateurs. Aujourd’hui âgée de...
Lire la suiteLes chemins de retour, Alfons Cervera (par Marc Ossorguine)
Dans ce court livre, l’auteur de ce qu’on a désigné en Espagne comme les romans de la mémoire – cinq romans ouvrant les portes de la mémoire des vaincus oubliés du franquisme (La Couleur du crépuscule, Maquis, La Nuit immobile, L’Ombre du ciel et Cet...
Lire la suiteBerlin, Bucarest-Budapest Budapest-Bucarest, Gonçalo M. Tavares (par Marc Ossorguine)
Gonçalo M. Tavares restera toujours un écrivain surprenant, à la fois exigeant envers le texte et envers ses lecteurs et toujours joueur et ironique, avec cette pointe « d’understatement » dont on pense, à tort, qu’elle est une spécialité purement britannique....
Lire la suiteCes vies-là, Alfons Cervera (par Marie-Josée Desvignes)
La collection La Sentinelle des Editions La Contre-allée abrite des textes où la mémoire collective croise la mémoire familiale. Ces vies-là d’Alfons Cervera, traduit de l’espagnol par Georges Tyras qui lui est fidèle depuis ses premiers livres à La Fosse...
Lire la suiteTant de larmes ont coulé depuis, Alfons Cervera (par Marc Ossorguine)
Voici le quatrième roman d’Alfons Cervera, l’écrivain valencien qui nous est offert, traduit en français par le fidèle et complice George Tyras. Après La couleur du crépuscule et Maquis à La fosse aux ours (premiers titres du cycle de la mémoire qui compte...
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