Un monument relié à lire et relire Que peut-on dire ou écrire au sujet de l’œuvre de Mario Vargas Llosa qui n’ait pas déjà été dit ou écrit ? Rien, a priori. Ecrivain phare de la littérature latino-américaine et de la littérature mondiale, couronné du...
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L’églantier fleurit et autres poèmes, Anna Akhmatova (par Marc Ossorguine)
De la poétesse Anna Akhmatova (1889-1966), on connaît en général Requiem, dans la traduction de Paul Valet qu’ont publié et réédité les éditions de Minuit. La Dogana nous offre l’occasion de redécouvrir Requiem dans une autre traduction, due à Marion...
Lire la suiteTant et tant de guerre, Mercè Rodoreda (par Marc Ossorguine)
Etonnant récit et jeu d’emboîtements littéraires que ce Tant et tant de guerre (Quanta, quanta guerra) de la catalane Mercè Rodoreda (1908-1983) ! Il s’agit du dernier récit publié par l’auteure de son vivant, à l’issue d’une carrière littéraire de cinquante...
Lire la suiteLes Soliloques du Pauvre et autres poèmes, Jehan-Rictus (par Marc Ossorguine)
La poésie a souvent chez nous, en France, un statut très élitiste. Il y a une sorte de prestige accordé à la poésie, une mythique (voire une mystique) du poète qui plane au-dessus de la langue et du commun des mortels, une révérence qui relève presque...
Lire la suiteL’instant décisif, Pablo Martín Sánchez (par Marc Ossorguine)
Un récit, ou six récits qui commencent à 0 heure et s’achèvent à minuit. Ou plutôt, peut-être, six récits qui commencent à 0 heure, et finalement un récit qui se termine à minuit. Donc sept récits au final. Vous suivez ? Dire cela c’est peut-être livrer...
Lire la suiteLes Insatiables, Gila Lustiger (par Marc Ossorguine)
Cet Insatiables n’est pas annoncé pas son éditeur comme un roman noir ou policier, et pourtant il y est question de crime, de corruption et d’investigation. Ce n’est certainement pas un essai et pourtant on y trouve de vraies réflexions et hypothèses...
Lire la suiteL’homme qui savait la langue des serpents, Andrus Kivirähk (par Marc Ossorguine)
Voilà de trop long mois que je différais la rencontre avec L’Homme qui savait la langue des serpents. Que de temps perdu ! Quel monde ! Quelle découverte ! Puis l’on réalise après le voyage d’une telle lecture que deux autres titres traduits nous attendent...
Lire la suiteUne trop bruyante solitude, Bohumil Hrabal (par Marc Ossorguine)
Les livres vivent. Ils meurent aussi. Envoyés au pilon, ils passent par des presses qui en font des cubes de papier, compressés après avoir été déchiquetés. Depuis trente-cinq ans, l’homme est aux commandes de sa presse artisanale, à compresser de vieux...
Lire la suiteLes incendiés, Antonio Moresco (par Marc Ossorguine)
Voilà sans doute l’un des plus étranges récits qu’il m’ait été donné de lire ces derniers mois. Les climats et images que nous avions découvert dans La petite lumière ou dans Fable d’amour, à cheval entre une réalité concrète, dure voire brutale, et un...
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