Il y a dans ce roman écrit en 1955 une vivacité et une intelligence d’écriture (et presque sans doute une « seconde » écriture pour la traduction) qui rendent cette œuvre pérenne. Il est vrai que les émotions humaines, les sensations d’épreuves de vie...
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Le Cercle des Hommes, Pascal Manoukian (par Patrick Devaux)
Il faut savoir lire lentement. Ecrire aussi, parfois. Qualité oblige. Et c’est certainement le cas avec ce superbe roman inventif, porteur d’un sublime message, avec aussi le ton du divertissement tant on souhaite croire en l’intrigue. Il n’y a que des...
Lire la suiteL’amour est une géographie intérieure, Elysabeth Loos (par Patrick Devaux)
Qu’importent les situations de temps, de lieu ou d’action dans ce que l’auteur annonce comme étant « des carnets de deuil ». Ecrits par à-coups, hoquets, comme pour gérer, à petites doses progressives, le choc, à moins que cela ne soit le contraire et...
Lire la suiteLa fantaisie répond à la mélancolie, François Baillon (par Patrick Devaux)
Dieu hésite au-dessus de son œuvre dans la bouillante marmite de sa création. Aurait-il un doute ? François Baillon l’aide-t-il à faire feu de tout poème à précipiter, entre les mots du juste questionnement, la vivacité culinaire de la Poésie ? C’est...
Lire la suiteEnfin le royaume, François Cheng (par Patrick Devaux)
Les poèmes de François Cheng sont autant de raccourcis de temps où s’invitent la permanence et la continuité : « A l’apogée de l’été/ Retient ce qui a été : / Tous les fruits suspendus/ Toute la soif étanchée ». Avec son éternelle soif de l’attente, quel...
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