Une cathédrale de mots ! Pas au sens qu’en donnait Proust mais dans la construction monolithique de chaque page composée de vingt-six lignes, vingt-six aphorismes qui hésitent entre récit (imp/passé simple) – où l’imparfait a ce rendu « mélancolique »...
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Un vague sentiment de perte, Andrzej Stasiuk (par Marie-Josée Desvignes)
Quatre récits, quatre personnages, quatre disparus et un vibrant hommage pour chacun d’entre eux, c’est ce que donne à lire Un vague sentiment de perte de Andrzej Stasiuk. Une grand-mère qui croit aux esprits et qui sans doute sera celle qui lui lèguera...
Lire la suiteAverroès ou le secrétaire du diable, Gilbert Sinoué (par Marie-Josée Desvignes)
« Venus des étoiles, descendent des parfums enivrants et résonnent des mélopées anciennes, tandis que, adossée aux remparts de la Ville rouge, la nuit parle à ma mémoire. Je suis venu comme l’eau. Je suis venu comme le vent. Bientôt, l’aube lancera dans...
Lire la suiteSous le roman la poésie, Le défi de Roberto Bolaño, Florence Olivier (par Marie-Josée Desvignes)
Dans cet essai intitulé Sous le roman la poésie, et sous-titré Le défi de Roberto Bolaño, publié aux Editions Hermann, Florence Olivier propose une analyse de l’œuvre de Roberto Bolaňo et en particulier de ses deux œuvres majeures : Les Détectives sauvages,...
Lire la suiteL’imposteur, Javier Cercas (par Marie-Josée Desvignes)
« Je ne voulais pas écrire ce livre ». C’est par cet incipit en forme d’aveu (ou de défense) que s’ouvre L’imposteur, un récit biographique étonnamment réel et fictif à la fois. L’auteur-narrateur va, en effet, nous raconter l’histoire d’Enric Marco,...
Lire la suiteL’Ultime Auberge, Imre Kertész (par Marie-Josée Desvignes)
« On dit que je suis un écrivain très estimé mais que – si j’ai bien compris – personne ne lit ». Pour qui, par hasard, n’aurait jamais lu Kertész, il serait totalement déconseillé de l’inviter à se saisir de ce dernier opus que l’auteur lui-même, sentant...
Lire la suiteCes vies-là, Alfons Cervera (par Marie-Josée Desvignes)
La collection La Sentinelle des Editions La Contre-allée abrite des textes où la mémoire collective croise la mémoire familiale. Ces vies-là d’Alfons Cervera, traduit de l’espagnol par Georges Tyras qui lui est fidèle depuis ses premiers livres à La Fosse...
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